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Toutes nos communications depuis octobre 2022

Retrouver ici toute l'info que nous vous avons adressé par mail

LES ÉLU.E.S CGT TRAVAILLENT EN RÉSEAU. ILS/ELLES SONT CAPABLES DE MENER DES ACTIONS TRANSVERSES SUR DES THÉMATIQUES INITIÉES AU NIVEAU DU CSA MINITÉRIEL ET MISES EN OEUVRE AU SEIN DES CSA DE CHAQUE ÉTABLISSEMENT.
Exemple: La Protection Sociale Complémentaire (PSC) est une action type menée au niveau du Comité Technique Ministériel et qui sera poursuivie par le futur CSA du MESR.
Au niveau ministériel, les élu.e.s CGT ont négocié en 2022 la mise en oeuvre de la complémentaire santé et continueront à négocier la partie prévoyance.
Cette action sera ensuite poursuivie au niveau du futur CSA d'Etablissement de l'Inserm par le choix de l'organisme mutualiste et des options supplémentaires possibles.
Nos élu.e.s se battront pour le choix le plus avantageux pour tous, agent.e.s actifs et retraité.e.s.
 

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Il est primordial de donner à vos futurs élu.e.s une véritable légitimité à vous représenter face à notre ministère de tutelle et notre direction. Pour cela la priorité est de voter en masse.

Il est également important de choisir des élu.e.s qui soient en mesure de défendre vos intérêts et de porter votre voix par leurs compétences et leur implication forte. Pour cela il vous faut aussi des élu.e.s combatifs et force de proposition, qui ne sont pas là uniquement pour accepter les propositions présentées par les représentant.e.s du gouvernent ou par la direction de l'Institut.

Il s’agira d’un vote par voie électronique, ouvert 24h/24h du 1er décembre 2022 8h00 au 8 décembre 2022 17h00.

Il y aura plusieurs votes pour chaque agent.e avec des processus différents et des prestataires différents (voir tableau)...
 

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Soyons acteurs pour l'amélioration de nos conditions de travail. 

Le « management » est déshumanisé. Il favorise une concurrence délétère entre collègues, dégrade les collectifs de travail, crée et amplifie un sentiment d’injustice. Ce type de management génère des Risques Psycho Sociaux (RPS). 

Le stress des évaluations incessantes, les effectifs insuffisants engendrent également des tensions dans les services qui touchent tout le personnel. Ces évaluations sont chronophages par leurs fréquences et par leurs procédures qui sont en perpétuelles révisions ... Ce travail se fait au détriment du temps consacré à la recherche.

Un budget 2023 pitoyable, imposé dans un contexte très tendu pour les organismes de recherche et les universités.

Nous revendiquons :
• Un budget qui atteigne au plus vite les 3 % du PIB (1% pour la recherche publique : +6Mds€), et ensuite un accroissement significatif du budget de la recherche publique permettant d’atteindre les 1.5% du PIB en 2030. Cet accroissement de budget doit s’accompagner d’une relocalisation des moyens sur les financements pérennes des organismes et des laboratoires et d’un nombre de recrutements statutaires conséquent.
• La réaffectation à l’ESR public de tous les budgets alloués au privé, notamment par le moyen du Crédit Impôt Recherche.

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EXIGEONS UNE RÉMUNÉRATION A LA HAUTEUR DE NOTRE VALEUR ET DE NOTRE ENGAGEMENT.
Les chercheur.euse.s Inserm ne vivent pas d’amour et d’eau fraîche, ils/elles ne sont pas moins méritant.e.s que les autres fonctionnaires !
Pourquoi alors leurs rémunérations (salaire et prime) sont-elles inférieures à niveau de diplômes équivalents ?
Le montant du RIPEC n’est pas à la hauteur des autres primes dans la fonction publique où elles atteignent 30% de la rémunération...

ÉGALITÉ FEMMES-HOMMES
Un plafond de verre existe à l’Inserm comme ailleurs dans la Fonction publique. Les inégalités Homme-Femme sont importantes...

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LE SNTRS-CGT SE BAT CONTRE LES EFFETS PERVERS DE LA LOI DE PROGRAMMATION DE LA RECHERCHE (LPR) ET DE LA LOI DE TRANSFORMATION DE LA FONCTION PUBLIQUE

 Nous sommes avant tout, des professionnels de la recherche au service de la science et de la santé. Mais depuis longtemps, nous sommes soumis au diktat de la valorisation. Notre activité de chercheur.euse.s inclut désormais une telle part de recherche de financement que cela nous éloigne de notre cœur de métier : la recherche scientifique. La concurrence engendrée par la course effrénée à l’obtention de crédits pour la réalisation de nos projets et l’individualisation des rémunérations dégradent l’esprit d’équipe en installant une concurrence inappropriée.

AMÉLIORONS NOS CONDITIONS DE TRAVAIL !
La recherche de fonds est chronophage et se fait au détriment de la mise en œuvre de la cohésion des équipes.
Nous vivons en permanence dans le stress : évaluations incessantes, financements et contrats à obtenir puis à gérer, suivi et avenir des personnels précaires, renouvellement d’unités … Comment poursuivre sereinement un projet scientifique dans la durée, animer un collectif de travail et obtenir des résultats dans ces conditions ?

Notre statut menacé...

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EXIGEONS UNE RÉMUNÉRATION A LA HAUTEUR DE NOTRE VALEUR ET DE NOTRE ENGAGEMENT.

Les ingénieur.e.s de Recherche, d’Etudes et les Asistant.e.s Ingénieur.e.s ne sont pas moins méritant.e.s que les autres fonctionnaires ! Pourquoi alors leurs rémunérations (salaire et prime) sont-elles inférieures aux autres agents de la fonction publique de niveau de diplômes équivalents ?

Avec la mise en place du RIFSEEP, nos primes sont de plus en plus individualisées. Elles ne sont pas soumises aux cotisations sociales et fragilisent fortement notre système de protection sociale (autonomie, maladie, invalidité, maternité …). Elles ne sont pas incluses dans le calcul des retraites et ne sont pas indexées sur l'inflation.  

Nos salaires indiciaires ont fortement diminué depuis 20 ans, au moins de 20%, dans le même temps le SMIC a augmenté de 62 %. Ceci a provoqué mécaniquement un écrasement de nos grilles. 

De plus, le montant de nos primes n’est pas à la hauteur des autres primes dans la fonction publique où elles atteignent 30% de la rémunération, sans parler des conditions de son attribution complexes et inégalitaires.

C’est inacceptable ! 

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LE SNTRS-CGT SE BAT CONTRE LES EFFETS PERVERS DE LA LOI DE PROGRAMMATION DE LA RECHERCHE (LPR) ET DE LA LOI DE TRANSFORMATION DE LA FONCTION PUBLIQUE

Nous sommes avant tout, des professionnels de la recherche au service de la science et de la santé. Nous voulons travailler au profit d'une recherche libre et au service du plus grand nombre dans un esprit de collaboration et d'équipe.

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EXIGEONS UNE RÉMUNÉRATION A LA HAUTEUR DE NOTRE VALEUR ET DE NOTRE ENGAGEMENT.
Les Technicien.ne.s de la Recherche ne sont pas moins méritant.e.s que les autres fonctionnaires ! Pourquoi alors leurs rémunérations (salaire et prime) sont-elles inférieures aux agents de la fonction publique de niveau de diplômes équivalents ?

Avec la mise en place du RIFSEEP, nos primes sont de plus en plus individualisées. Elles ne sont pas soumises aux cotisations sociales et fragilisent fortement notre système de protection sociale (autonomie, maladie, invalidité, maternité …). Elles ne sont pas incluses dans le calcul des retraites et ne sont pas indexées sur l'inflation. 

Nos salaires indiciaires ont fortement diminué depuis 20 ans, au moins de 20%, dans le même temps le SMIC a augmenté de 62 %. Ceci a provoqué mécaniquement un écrasement de nos grilles ...

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EXIGEONS UNE RÉMUNÉRATION A LA HAUTEUR DE NOTRE VALEUR ET DE NOTRE ENGAGEMENT.
Les Adjoint.e.s Techniques ne sont pas moins méritant.e.s que les autres fonctionnaires ! Pourquoi alors leurs rémunérations (salaire et prime) sont-elles inférieures aux agents de la fonction publique de niveau de diplômes équivalents ?

Avec la mise en place du RIFSEEP, nos primes sont de plus en plus individualisées. Elles ne sont pas soumises aux cotisations sociales et fragilisent fortement notre système de protection sociale (autonomie, maladie, invalidité, maternité …). Elles ne sont pas incluses dans le calcul des retraites et ne sont pas indexées sur l'inflation.  

Nos salaires indiciaires ont fortement diminué depuis 20 ans, au moins de 20%, dans le même temps le SMIC a augmenté de 62 %. Ceci a provoqué mécaniquement un écrasement de nos grilles. 

De plus, le montant de nos primes n’est pas à la hauteur des autres primes dans la fonction publique où elles atteignent 30% de la rémunération, sans parler des conditions de son attribution complexes et inégalitaires...

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LE SNTRS-CGT SE BAT CONTRE LES EFFETS PERVERS DE LA LOI DE PROGRAMMATION DE LA RECHERCHE (LPR) ET DE LA LOI DE TRANSFORMATION DE LA FONCTION PUBLIQUE

Nous sommes avant tout, des professionnels de la recherche au service de la science et de la santé. Nous voulons travailler au profit d'une recherche libre et au service du plus grand nombre dans un esprit de collaboration et d'équipe.

DÉFENDONS ET REDONNONS DU SENS À NOTRE MÉTIER.

AMÉLIORONS NOS CONDITIONS DE TRAVAIL

Nos charges de travail augmentent, nous passons de plus en plus de temps à former des personnels précaires dont le turnover est important...

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Le SNTRS-CGT revendique le maintien du recrutement de personnel Adjoint.e.s Techniques pour éviter le recours à la sous-traitance

DÉFENDONS ET REDONNONS DU SENS À NOTRE MÉTIER.

AMÉLIORONS NOS CONDITIONS DE TRAVAIL

Nos charges de travail augmentent, nous passons de plus en plus de temps à former des personnels précaires dont le turnover est important...

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Être précaire c’est souvent la galère !

La CCP est la seule instance où les précaires peuvent être représentés.

La Loi de Programmation de la Recherche (LPR) introduit le « contrat de mission » comme dans le secteur privé qui prend fin dès que son objet est atteint. Les contractuels dans la fonction publique ne bénéficient pas, en général, de la prime de précarité en fin de contrat. C’est une perte de droits par rapport au secteur privé. Le financement de la recherche, majoritairement sur appel à projets, et la diminution du nombre de postes de titulaires au recrutement font aussi exploser le nombre de contractuels (CDI de mission, chaires de professeurs juniors ...) et la précarité qui en découle...

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Donnons un espoir de carrière aux CDD, CDI.

Le financement de la recherche majoritairement sur appel à projets et la diminution du nombre de postes de titulaires au recrutement font exploser le nombre de contractuels (CDD, CDI de mission, chaires de professeurs juniors) dans les laboratoires et les services et en conséquence la précarité qui en découle.

Les contractuel.le.s de l’Inserm représentent 40 % de la force de travail...

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la spéciale élections professionnelles d'octobre

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