Élections au Conseil d'Administration (CA)
Mandat 2025-2029
Les élus SNTRS-CGT
Des femmes et des hommes qui se battront pour vous
Nos carrières
Pour retrouver un métier passion
- Reconnaissance de la valeurs des personnels
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Déblocage des carrières
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plus de possibilités de changement de grade et de corps
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Plus de justice et de transparence dans les décisions de promotions
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Une amélioration significative des nos grilles
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La reconnaissances de la valeur professionnelle des Femmes
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Plus de recrutement les jeunes chercheuses et chercheurs
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Des postes pour titulariser tous les précaires travaillant sur des fonctions pérennes
Nos métiers ne font plus rêver
Pour une reconnaissances de la qualification, l’expertise
et l’investissement des personnels de l’Institut.

L’institut n’offre plus d’attractivité
L’évolution du paysage de la recherche française, toujours plus orientée vers une recherche à but lucratif, limite la liberté de recherche de nos chercheurs.
Nos métiers comportent de plus en plus d’activité administrative (recherche de financement), de formation des personnes sous contrat et de fonctions transverses ...). Cela diminue la quantité des activités de recherhce mais également les possibilités d’investissement dans ces activités (temps de formations professionnels, de participation à des réunions scientifiques, ...).
Les responsables de laboratoires non Inserm (Universitaire, praticiens hospitaliers ...) méconnaissent trop souvent les processus de promotions internes et se sentent parfois peu concernés. De ce fait, les personnels Inserm se sentent oubliés pour leur promotion et leur carrière.

L’Institut ne reconnait plus la qualification de son personnel
Les carrières sont bloquées pour de nombreux agents :1083 agents au dernier échelon de leur catégorie pour un effectifs total de 4938.
En 2023 1/4 des personnels Inserm touchait la GIPA. En 2024 35% des chercheurs et chercheuses (754 personnes) et 20% de IT (574 personnes) ont subi la perte de cette GIPA (Garantie Individuelle de Pouvoir d’Achat).
Les salaires sont indignes de la qualification, de l’expertise des personnels, et de leur engagement professionnel.
Le montant du RIPEC doit être amené au niveau de la prime des Ingénieurs de recherche (IR) et la part C3 doit être attribuée à tous les chercheurs et chercheuses.
Une partie des RIFSEEP et RIPEC sont des primes ‘au mérite’, attribuées en totale opacité. Ceci est contraire à l’esprit d’équipe de nos métiers.

Les promotions
Nous demandons également plus de justice et de transparence au niveau des décisions des membres des RAR (Réunion d’Analyse Régionale) et RAN (Réunion d’Analyse Nationale), qui actent les promotions des ITA.
Seuls 3,4% des promouvables sont promus pour un changement de corps au choix et 6,9 % pour un changement de grade. C’est très insuffisant !
146 IT stagnent depuis plus de 3 ans en fin de grille dont 25 depuis plus de 10 ans pour un total de 2761 IT
597 chercheurs et chercheuses stagnent depuis plus de 3 ans en fin de grille dont 106 depuis plus de 10 ans pour un total de 2177 chercheurs et chercheuses.
Nos grilles doivent être améliorées de manière significative pour une reconnaissance salariale de nos qualifications et diplômes pour être à un niveau équivalent aux grilles de rémunération du reste de la fonction publique.
La place des femmes
Pour une véritable politique d’égalité Femmes-Hommes
avec des effets visibles rapidement.

Briser le plafond de verre
L’institut doit reconnaitre la valeur professionnelle des femmes à la hauteur de celle des hommes et leur offrir un même niveau d’opportunité.
Des décisions rapides et efficaces doivent être prises pour briser le plafond de verre et combler les différences Femmes-Hommes, avec plus de femmes en responsabilité, et avec des primes et des promotions équivalentes à celles des hommes.
Les inégalités Femmes-hommes sont toujours présentes à l’Inserm malgré les rapports prétendument optimistes de la direction.

Plus de femmes aux postes de directions
Pour un ratio Femmes-Hommes plus proche de 50% dans les postes de direction tant administratifs qu’au niveau de la recherche, et en particulier parmi les nominations effectuées par le PDG.
L’Inserm n’a jamais eu de PDG femme depuis sa création. L’État devrait veillez à une alternance Femmes-Hommes à la direction de notre Institut.
Les nominations et le recrutement à des postes de responsabilité devraient être réalisés de manière plus équilibrée.

Plus de femmes à la tête de l'Institut
Actuellement à la direction de l’Inserm, le PDG (Président directeur général), le DGDA (Directeur général délégué – Administration), le DGDS (Directeur général délégué – Stratégie), le DRH (Directeur des Ressources Humaines) sont tous des hommes. À la direction des instituts thématiques 6 hommes et seulement 3 femmes.
Le PDG de l’Inserm est responsable de ces nominations, il se doit d’examiner avec attention les candidatures féminines. Il n’est pas pensable que seuls des hommes aient les compétences et l’expérience nécessaires pour ces postes !
plus de postes
Pour des emplois statutaires stables pour les jeunes chercheuses et chercheurs
et pour les précaires

Pour un avenir pour les jeunes scientifiques, et des recrutement plus précoces pour les chercheurs et les chercheuses.
L’Institut n’offre plus de postes suffisants aux jeunes chercheurs et chercheuses.
Les recrutements après Post Doc se font de plus en plus tardivement à Post Doc en moyenne 9,2 ans après la thèse, mais encore plus tardivement pour les femmes !

Pour des emplois statutaires stables afin de garantir l’indépendance de la recherche
Les chercheuses en CDD sont presque 2 fois plus nombreuses que les chercheurs en CDD, pourtant l’Inserm recrute plus d’hommes que de femmes. Quelle est la cause de cette situation ?
Le recrutement sur postes statutaires doit se faire avec une proportion Femmes-Hommes équilibrée et au plus près de la thèse.

Pour des emplois statutaires stables afin de garantir l’indépendance de la recherche
L’Institut fonctionne grâce à la précarité
L’Inserm est l’organisme de recherche qui a le taux de précarité le plus élevé, plus de 40%.
Pour la très grande majorité des personnels non titulaires, l’Institut n’offre aucune perspective de recrutement, ni de carrière.
Ce type de contrats étant directement lié au mode de financement sur projet, le nombre de précaires est amené mécaniquement à augmenter.
Le SNTRS-CGT s'engage !
Nos élu.es défendront :
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Plus de possibilité de promotion
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Le respect de l'égalité femmes-hommes et luterons contres toutes les formes inagalités
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Une progression de carrière régulière et automatique pour les CDD et CDI
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Des créations de postes pour une titularisation de tous les précaires de l’Inserm travaillant sur des fonctions pérennes
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Des postes pour les jeunes chercheuses et chercheurs
Au conseil d'administration, nos élu.es défendront l'institut et tous les agent.es face aux représentants de Bercy et du ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche
Nous demandons à l’Inserm de défendre avec nous auprès du ministère une politique de promotion plus ambitieuse :
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Plus de possibilités de changement de grade et de corps afin de reconnaitre la qualification, l’expertise et l’investissement des personnels de l’Institut
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Plus de postes pour les jeunes chercheuses et chercheurs et les précaires